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Le projet Climfourel a conduit des expérimentations et des études pour tester l'intérêt de plusieurs leviers d'action dans la gestion des parcelles des agriculteurs :  introduction de variétés fourragères méditerranéennes et utilisation de nouveaux mélanges prairiaux (prairies multiespèces), culture du méteil et du sorgho, introduction de cultures dérobées. Nous présentons ici les résultats de ces travaux qui permettent de voir les avantages et inconvénients des différentes pistes d'adaptation testées.

Variétés méditerranéennes et mélanges prairiaux pour concilier production, résistance à la sécheresse et gain de précocité : De savants dosages pour exprimer les complémentarités entre fétuques élevées méditerranéennes, dactyle, luzerne, sainfoin, trèfles... avec une pointe de chicorée ! Voir la fiche générale et le diaporama de présentation des résultats obtenus en fauche et pâturage.

Des alternatives prometteuses : Cultiver du méteil (mélange céréales/légumineuses) pour constituer des stocks avant l'arrivée de la sécheresse estivale ; implanter du sorgho BMR qui est une espèce moins sensible au stress hydrique que le maïs. Voir le diaporama.

Introduction de cultures dérobées (sorgho, mélanges graminées-légumineuses, moha, ray-grass d’Italie...) pour constituer des stocks ou pour pâturer en fin d'été/automne: retours d'expériences de 75 agriculteurs qui ont mis en œuvre cette pratique pour s'adapter à des épisodes de sécheresse. Quelles leçons en tirer ? Voir le document focus qui capitalise ces expériences de terrain.

Voir aussi le film réalisé lors de la présentation de ces résultats (séquence 10,25 - 15,40)